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RECENT COAL AND URANIUM INVESTMENT AGREEMENTS IN THE THIRD WORLD
Authors:STEPHEN A. ZORN
Abstract:The improvements made by developing countries in the 1970s in petroleum and mineral agreements with transnational corporations have been well documented, and substantial evidence exists to show that some real gains, in terms of host country control over operations, distribution of economic benefits, better employment and training requirements, etc., have in fact been made. In the case of the energy-related minerals, uranium and coal, however, relatively few contracts between Third World governments and transnational corporations have become public, and it is thus difficult to document whether the same gains made in the case of petroleum or non-fuel minerals have been achieved in relation to these energy resources. This article reviews a number of such recent coal and uranium agreements in developing countries. In overall terms, these agreements do not go as far in providing for the interests of host countries as do those negotiated for petroleum or hard minerals. The reasons for this apparent weakness in developing countries' bargaining power in the case of uranium and coal include the specific nature of the markets for these minerals, the structure of transnational corporations in the industry, and the very secrecy which has kept most of these contracts from public view. In the light of the relatively weak markets expected for export sales of coal and uranium through the remainder of the 1980s, it appears unlikey that developing countries can make significant advances in their negotiations to the extent of achieving terms which are more favourable than those contained in the best of the agreements reviewed in this article. It should, however, be possible for host governments to use the more favourable of the agreements reviewed here as standards for future negotiations. Une solide documentation existe sur les améliorations apportées par les pays en développement dans les années '70 dans le domaine des accords pétroliers et miniers avec les sociétés multinationales et il est maintenant bien etabli que des gains réels ont été acquis en ce qui concerne le contrôle des opérations par le pays hôte, la répartition des bénéfices, une meilleure utilisation de la main-d'oeuvre et les obligations de formation professionnelle. Cependant, dans le cas des minerais énergétiques uranium et charbon, relativement très peu de contrats intervenus entre les gouvernements du Tiers Monde et les sociétés multinationales sont tombés dans le domaine public de sorte qu'il est difficile d'établir si des gains semblables à ceux réalisés dans le cadre du pétrole et des minerais métalliques ont été obtenus. Cet article passe en revue certains des accords intervenus récemment dans les domaines du charbon et de l'uranium dans les pays en développement. En termes généraux, ces accords ne vont pas aussi loin dans la protection des intérêts des pays hôtes que ceux qui ont été négociés pour le pétrole et les minerais. La marge de manoeuvre des pays en développement dans le cadre des négociations d'accords portant sur le charbon et l'uranium est limitée en apparence du fait de la nature particulière des marchés de ces minerais, de la place qu'occupent les sociétés multinationales dans l'industrie minière et du caractère confidentiel qui entoure les transactions et les isole de la vue du grand public. Etant donné les tendances baissières des marchés du charbon et de l'uranium à l'exportation pour le reste de cette décennie, il semble peu probable que les pays en développement puissent réaliser des progrès sensibles dans leurs négociations pour atteindre des conditions plus favorables que celles qui figurent dans les meilleurs accords examinés dans cet article. Cependant, les pays hôtes devraient se prévaloir des accords qui leur sont les plus favorables parmi ceux qui sont passés en revue pour les utiliser comme base de leurs futures négociations et tout au moins pour éviter de signer des accords léonins. Los progresos alcanzados en la década del setenta por los países en desar-rollo en los acuerdos con las compañias transnacionales sobre el desarrollo del petróleo y de los minerales ha sido bien documentado y existe evidencia sustantiva de que ha habido ganancias reales en aspectos tales como control del país sobre las operaciones, distribución de beneficios económicos, mejores condiciones para el empleo y el entrenamiento, etc. Sin embargo, en el caso de minerales energéticos, tales como el uranio y el carbón, pocos contratos han sido hechos públicos y es difícil documentar si se tuvieron similares ganancias como en el caso de minerales no energéticos y petróleo. Este artículo pasa revista a un número de dichos contratos recientes sobre carbón y uranio. En términos generales estos contratos no son tan favorables a los países en desarrollo en comparación con los contratos para petróleo y minerales no energéticos. Las razones para esta aparente debilidad del poder de negociación en el caso del carbón y del uranio se debe, entre otras, a la naturaleza específica del mercado para estos minerales, la estruc-tura de las compañías transnacionales dentro de la indústria y el carácter secreto que ha tenido la mayoría de estos contratos con respecto al público en general. A la luz de la relativa debilidad del mercado para las exportaciones de carbón y uranio que se cree que imperará durante el resto de la década del ochenta, parece poco probable que los países en desarrollo puedan hacer avances significativos en sus negociaciones con el objeto de alcanzar términos que sean más favorables que los que se alcanzaron en el mejor de los contratos revisados en el presente artículo. Debería ser posible, sin embargo, que los gobiernos puedan usar como patrón para futuras negociaciones el contrato mas favorable revisado en este artículo y evitar la firma de acuerdos totalmente desfavorables al pais.
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