Energy and environmental appraisal of domestic laundering appliances

At a time when UK and Scottish governments are aiming for zero-carbon housing, there are two key issues for domestic laundering: passive indoor drying, affecting heating use and the indoor environment (addressed elsewhere); and energy and environmental impacts of appliances. Relevant findings are reported on the 2008–2011 study ‘Environmental Assessment of Domestic Laundering’, drawing on monitored data from 22 case studies out of 100 dwellings surveyed in Glasgow. Differing consumer traits and habits, combined with variable technical performance, provide quantitative and qualitative evidence of a wide estimated annual consumption range. Actual usage and energy consumption averaged less than UK predictions; and values did not necessarily correspond with manufacturers' energy ratings. In a wider discussion, case study median and mean extrapolations of electricity consumed by laundering (105 and 174 kWh/person-year) prove significant relative to the proportion of what could be available to a dwelling achieving the German Passivhaus standard. The potential for heat recovery from ‘grey’ water is posited along with other options for mitigating power consumed by appliances. Renewable technology to offset consumption in shared facilities is discussed as a means of easing the performance of individual homes. The foregoing aspects are among key conclusions directed at housing occupiers, providers, national and local governments, and industry.

A l'heure où les gouvernements du Royaume-Uni et de l'Ecosse se donnent pour objectif des logements zéro carbone, il existe deux problèmes concernant le lavage domestique: le séchage passif en intérieur, qui affecte l'utilisation du chauffage et l'environnement intérieur (traité par ailleurs) et les incidences énergétiques et environnementales des appareils électroménagers. Il est fait état de résultats pertinents de l'étude 2008–2011 « Evaluation Environnementale du Lavage Domestique », qui s'appuie sur les données de surveillance issues de 22 études de cas sur 100 logements étudiés. Les différences dans les traits et les habitudes de consommation, associées aux variations des performances techniques, fournissent des éléments quantitatifs et qualitatifs probants indiquant une plage de consommation annuelle estimée étendue. L'utilisation et la consommation d'énergie effectives étaient inférieures en moyenne aux prévisions pour le Royaume-Uni; et les valeurs ne correspondaient pas nécessairement aux classements énergétiques des fabricants. Il ressort d'une discussion plus large que la médiane des études de cas et les extrapolations moyennes de l'électricité consommée par le lavage (105 et 174 kWh/personne-an) s'avèrent significatives quant à la part dont pourrait disposer un logement atteignant la norme allemande Passivhaus. Les possibilités de récupération de chaleur à partir des eaux « grises » sont avancées ainsi que d'autres options de réduction de l'énergie consommée par les appareils électroménagers. Il est discuté des technologies renouvelables permettant de compenser la consommation dans des installations partagées comme étant un moyen de réduire les performances attendues de chaque logement. Les aspects qui précèdent figurent parmi les principales conclusions qui s'adressent aux occupants des logements, aux fournisseurs de logements, aux administrations nationales et locales, et à l'industrie.

Mots clés: appareils électroménagers, habitudes de consommation, lavage domestique, consommation énergétique, logement, qualité de l'air intérieur, comportement des habitants, charges des prises de courant