首页 | 官方网站   微博 | 高级检索  
相似文献
 共查询到20条相似文献,搜索用时 886 毫秒
1.
T. LEWIS 《EPPO Bulletin》1980,10(2):39-46
There is a need for continuous monitoring of insect populations to provide, in the short term, early warning of the presence of pests and, in the long term, to record and analyse faunal changes resulting from changes in agricultural practice and urbanisation, and the rate of spread of pests and resistance to pesticides. The Rothamsted Insect Survey examines aerial populations of two major insect groups throughout the year. Two hundred and sixty species of aphids are sampled daily at a height of 12 m by a grid of 21 suction traps. Early warning of the migration of 32 aphid species of economic importance is provided in weekly bulletins issued to farmers and advisers. This aerial sampling is generally cheaper, quicker and provides earlier warning of the presence of aphids than crop sampling. Six hundred species of moths are sampled by 195 light traps and the data are being used to assess the magnitude and reasons for seasonal, annual and long-term changes in the insect fauna, especially of pest species. The information on both insect groups is stored on magnetic tape and computerized maps are produced to illustrate the distribution in time and space of given species and as a research tool in studies on their population dynamics. The prospects and value of extending this system to continental Europe, and the help and expertise that Rothamsted could give in the eventuality, are outlined. Les populations dinsectes doivent dtre soumises à un recensement continu afin dassurer, à court terme, un avertissement précoce de la presence des ravageurs, et, à long terme, la possibilite d'enregistrer et d'analyser les changements qui interviennent dans la faune à la suite de I'evolution des pratiques agricoles et de I'urbanisation, et de déterminer la vitesse de dissémination des ravageurs ainsi que leur résitance aux pesticides. Le «Rothamsted Insect Survey » observe les populations de deux groupes d'insectes durant toute L'année. Deux cents soixante espèces de pucerons sont échantillonnées quotidiennement dans 21 localites differentes à L'aide de pièges à succion disposes a 12 m au-dessus du sol. Les exploitants et les conseillers sont avertis, par des bulletins hebdomadaires, des migrations de 32 espèces de pucerons d'importance économique. L'échantillonnage aérien semble être meilleur marché et plus rapide qu'un échantillonnage réalisé au niveau de la culture;de plus, il assure un avertissement plus précoce. Six cents espèces de lépidoptéres sont recensées au moyen de 195 piéges lumineux dans le dessein danalyser la magnitude et les causes des variations saisonnieres, annuelles, et à long terme surtout en ce qui concerne les ravageurs. Les données ainsi recueillies sont enregistrées sur bandes magnétiques et servent à L'etablissement de cartes à L'aide d'ordinateurs; ces cartes indiquent la distribution temporelle et spatiale de chaque espèce et constituent un élement important dans l'étude de la dynamique des populations. L'extension de ce réseau à L'Europe continentale présente deL'intérêt et la façon dont la Station de Rothamsted peut y apporter son soutien est exposée dans la présente communication.  相似文献   

2.
Des informations sur la biologie et la diffusion des principaux insectes nuisibles aux eucalyptus en Italie sont données, ainsi que sur l'importance de leurs dégats et sur les méthodes de lutte les plus couramment employées. En plus des quelques espèces polyphages, qui peuvent causer des dégats sporadiques, les phytophages vivant exclusivement aux dépens d'Eucalyptus spp. en Italie sont Phoracantha semipunctata, Gonipterus scutellatus et Ctenarytaina eucalypti. La première espèce est nuisible aux eucalyptus cultivès pour la production du bois et est répandue en Italie centrale et méridionale, en Sicile et en Sardaigne, alors que les deux autres espèces endommagent surtout les eucalyptus destinés aux marchés de fleurs (fleurs et rameaux) et ne sont prèsentes qu'en Ligurie occidentale. La lutte contre P. semipunctata est conduite par des interventions d'ordre sylvicultural, consistant essentiellement è recéper des peuplements sérieusement attaqués; le parasite oophage Patasson nitens, importé d'Afrique du Sud, permet de controler G. scutellatus alors que les larves de plusieurs syrphes prédatrices agissent efficacement contre C. eucalypti.  相似文献   

3.
La maladie du pied du haricot est causée par deux agents pathogénes: Fusarium solani f.sp. phaseoli et Thielaviopsis basicola. La mycoflore des racines associée à ces deux espèces est principalement constituée de souches de Fusarium oxysporum (90%), non pathogènes sur haricot. Ces trois espèces fongiques sont associées dans 50% des cas de maladie et forment un complexe parasitaire. En confrontation sur boîte de Petri, F. oxysporum a inhibé la croissance des deux agents pathogénes. En inoculation artificielle, ces interactions étaient modulées et dépendaient principalement des rapports de densité entre les populations du saprophyte et des pathogènes. En aucun cas F. oxysporum n'a favorisé la maladie. Bien que F. oxysporum colonise souvent les tissus du haricot avant les agents pathogènes, aucun phénomène de prémunition n'a pu être mis en évidence. Ainsi, la compétition entre les deux espèces pathogènes et F. oxysporum doit avoir lieu dans le sol, et plus précisément dans la rhizosphère. ?équilibre du complexe parasitaire détermine en partie le niveau de réceptivité des sols à la maladie.  相似文献   

4.
J. TOUZEAU 《EPPO Bulletin》1980,10(2):97-104
Les Stations d'avertissements agricoles du Service français de la protection des végétaux utilisent depuis quelques années le piégeage sexuel à L'aide de phéromones de synthèse pour suivre L'évolution des vols du carpocapse des pommes, du carpocapse des prunes, de la tordeuse orientale du pêcher et de L'eudémis de !a vigne Ce type de piégeage est particulièrement sensible pour les faibles densités de population. Il permet ainsi de déceler, avec une excellente précision, le début et la fin des vols des quatre espèces de tordeuses énumérées ci-dessus. Pour les espèces «à foyer », telle L'eudémis de la vigne, un réseau de pièges sexuels suffisamment dense permet aux Stations d'avertissements agricoles de délimiter des zones dans lesquelles L'absence de captures, ou des captures presque nulles, signifient L'absence de risques. Dans ces vignobles, les traitements insecticides sont déconseillés. Lorsque les captures sont plus importantes, L'Interprétation des courbes obtenues pose des problèmes encore mal résolus, et différents suivant L'espèce de tordeuse considérée. Pour le carpocapse des pommes, dont les niveaux de population sont généralement faibles ou très faibles dans les vergers à production intensive, le rendement du piégeage varie fortement au cours d'un vol, en fonction de la concurrence existant entre les capsules de phéromones et les femelles presentes dans les vergers. Ceci ôte toute signification à L'importance des captures quotidiennes et à L'ailure des courbes de piégeage. En revanche, en raison des fortes densités de population d'eudémis dans les vignobles infectés, ce phénomène est rapidement masqué dès le début des vols de cette espéce. Les courbes de captures peuvent alors être utilisées par les Stations d'avertissements agricoles pour situer les époques probables de pontes importantes et les dates de traitement. Il en est de même pour la tordeuse orientale du pêcher et le carpocapse des prunes, espèces pour lesquelles on ne note pas de concurrence entre les femelles et les capsules de phéromones sexuelles, celles-ci se comportant plutôt comme un attractif chimique classique. Lorsque des seuils de nuisibilité admis permettent L'application de traitements après apparition des premiers dégâts, certaines Stations d'avertissements agricoles mentionnent, à L'intention de leurs abonnés, des seuils critiques de captures au-dessous desquels un traitement insecticide est inutile. C'est le cas du premier vol d'eudémis et des vols successifs de carpocapse des prunes sur prunier d'Ente. Pour L'avenir, les Stations d'avertissements agricoles envisagent L'introduction de certaines données du piégeage sexuel dans des modèles mathématiques de prévision. Les études préliminaires sont actuellement en cours. The Agricultural Warning Stations of the French Plant Protection Service have been, for some years, using sexual trapping based on synthetic pheromones in order to follow the emergence of codling moth, plum fruit moth, oriental fruit moth and grape moth. The method is very sensitive to low densities and will detect with great precision the start and end of flight of all four species. For species occurring in foci (like the grape moth), a network of pheromone traps allows the definition of low-risk zones in which few or no captures are made. Insecticide treatments are not recommended in these zones. However, as trapping numbers increase, unresolved problems arise in the interpretation of the curves, according to the species considered. Codling moth (usually rare in intensive orchards) is trapped very variably during a flight period, in relation to competition between traps and females moths. Trapping results are therefore almost useless. Grape moth (which is abundant in infested vineyards) does not give this problem, so that the trapping curves can be used to define laying periods and treatment times. The same applies to plum fruit moth and oriental fruit moth, for which pheromones behave like classic chemical attractants, no competition with females being observed. If damage thresholds allow treatment after the first appearance of damage, some warning stations inform growers of capture thresholds below which treatment is useless. This is the case for the first flight of grape moth and for successive flights of plum fruit moth on Ente plum. In future, the Warning Stations plan to use pheromone trapping data as a basis for mathematical modelling. Preliminary studies are under way.  相似文献   

5.
G. LORGUE 《EPPO Bulletin》1988,18(2):309-316
En France, le Centre National Antipoison Vétérinaire et le laboratoire de toxicologie analytique qui lui est associé traitent en moyenne 4000 cas par année d'intoxications animales, collectives ou individuelles. Sur ce total, une proportion importante est due à l'ingestion de rodenticides, soit de toxicité immédiate, soil anticoagulants. Parmi les premiers, le chloralose, le scilliroside, les phosphures, le calciférol sont les plus incriminés; parmi les seconds, le coumafène, malgré une baisse d'utilisation marquée depuis quelques années, reste encore le plus impliqué. Les intoxications sont souvent la conséquence de l'ingestion d'appâts ‘malveillants', c'est-à-dire destinés (par leur nature, leur disposition) à des espèces autres que les rongeurs; plus de 70% des appâts envoyés au laboratoire sont de ce type. Le chien est l'espèce la plus touchée (il constitue à lui seul près de 60% des appels).  相似文献   

6.
L'hypothèse de travail proposée pour l'analyse des cycles de population de Microtus arvalis intègre à la fois le rôle de la prédation et l'influence de la structure du paysage. Par sa composante liée à la prédation, cette hypothèse engage les recherches au niveau d'investigation des peuplements, aussi bien des Microtidae que des petits prédateurs spécialistes qui leur sont associés. Par sa composante liée à la structure du paysage et par son approche comparative dans le temps et dans l'espace, elle situe ces recherches à une échelle de perception suffisamment large pour que notre vision des phénoménes biologiques analysés soit moins ponctuelle et par conséquent moins naïve. Enoncée à l'origine pour l'étude du couple Microtus arvalis/Mustela nivalis cette hypothese peut utilement être transposéà l'analyse du couple Arvicola terrestris/Mustela erminea, en raison des nombreuses similitudes écologiques observées entre ces espèces. Les premiers indices analysés dans cette perspective concernent, d'une part, un suivi diachronique des différentes populations de rongeurs et de petits Mustelidae présents sur un terrain d'étude situé en Franche-Comté (France) et, d'autre part, une comparaison de la cartographie des dégâts dus àA. terrestris avec celle des surfaces agricoles utiles consacrées aux céréales dans les différents cantons de cette région. Sans présenter de valeur démonstrative les coïncidences observées entre les cinétiques des différentes populations et entre les cartes de répartition présentées accréditent, à notre sens, l'intérêt de la démarche retenue.  相似文献   

7.
R. KOPP 《EPPO Bulletin》1988,18(3):393-400
Arvicola terrestris scherman est un rongeur fouisseur dont le régime alimentaire n'a été que très peu étudié bien que les dégâts qu'il occasionne dans les prairies soient très importants, surtout lors des pullulations cycliques. Les méthodes classiques d'investigations (analyses des contenus stomacaux, des réserves alimentaires, etc.) ne rendent que partiellement compte des choix réels. En outre, les travaux effectués sur le terrain ne permettent pas de tirer de conclusions précises sur le sujet, notamment en raison de la grande diversité des espèces végétales présentes. C'est pourquoi nous avons choisi une approche expérimentale: un ‘essai en pâture’ adapté aux campagnols. L'expérience s'est déroulée dans un terrarium de 6 ± 3 m, disposé en pleine terre. Les campagnols placés dans le terrarium avaient le choix entre 12 plantes, cultivées séparément sur de petites parcelles. Ils pouvaient se nourrir, soit en surface, soil à partir de leurs galeries souterraines et restaient ainsi dans des conditions proches de celles de la prairie. Les préférences ont été déduites selon trois méthodes: la comparaison des quantités de matière séche récoltées dans le terrarium et dans un témoin identique, l'observation des signes d'activité des campagnols et l'évolution du recouvrement de la végétation dans chaque parcelle. Les trois ont donné des résultats semblables. Ce premier essai réalisé en 1986 a permis de mettre en évidence une nette préférence pour Medicago sativa, Taraxacum officinale et Trifolium pratense; aucune des graminées présentées n'a été très appréciée malgré leur bonne qualité fourragère.  相似文献   

8.
W. Mueller 《EPPO Bulletin》1974,4(3):347-355
Les méthodes biomété orologiques qui intéressent les biologistes appelé s à développer des systèmes de lutte intégrée se distinguent nettement de la climatologie traditionnelle de l'abri. D'une façon générale, les différences peuvent se résumer comme suit: –les investigations se font essentiellement à l' échelle microclimatique; –les instruments sont très élaborés et particulièrement adaptés au but recherché; –l'établissement du réseau d'observations et les périodes d'études dependent des exigences biologiques; –la durée des périodes d'observation est limitée et la densité du réseau climatologique relativement faible grâce au recours à l'échantillonnage représentatif. L'interprétation des résultats biométéorologiques est en général difficile puisqu'il y a souvent superposition de deux ou d'un nombre plus élevé de facteurs. II est done prudent d'inclure également, dans l'appréciation générale, les données de laboratoire et de s'efforcer de remplacer les données plus ou moins empiriques par des fonctions précises. Cette approche est proposée sous la forme d'une étude quantitative du bilan énergétique et hydrique des ravageurs. On peut ainsi obtenir des résultats de portée étendue, reposant sur des données physiques, d'une part, et des renseignements quantitatifs, d'autre part. Un certain nombre de facteurs simples ou composés tels que le vent et la faculté de refroidissement sont à considérer dans les études biométéorologiques puisqu'ils contribuent à caractériser, et partant, à prévoir le comportement des espèces (par exemple l'activité de vol du carpocapse des pommes). En définissant des « types de temps » favorables à l'activité d'un ravageur, il serait possible de prévoir le comportement de l'espèce en question. Enfin, l' étude conjointe des vues prises par satellites à l'aide de films à infrarouge, thermiquement sensibles, et des observations biométéorologiques faites au sol apportera sur le plan macro- et méso-climatique des éléments eminemment utiles au développement de la lutte intégrée.  相似文献   

9.
D. SCHVESTER 《EPPO Bulletin》1986,16(4):603-611
En France méditerranéenne s'ajoutent aux problèmes entomologiques classiques (Thaumetopoea pityocampa, Lymantria dispar, Tortrix viridana) plusieurs problèmes récents: (1) l'introduction en Provence, puis l'expansion de Matsucoccus feytaudi qui s'est traduite par la destruction (ou l'exploitation précipitée) de 120.000 ha de Pinus pinaster. Cette infestation a favorisé le développement de pullulations de divers xylophages secondaires, tels que Tomicus destruens, Orthotomicus erosus et surtout Pissodes castaneus; (2) l'introduction sur Cedrus atlantica d'Epinotia cedricida et des pucerons Cedrobium laportei et Cinara cedri; (3) l'expansion vers le sud, sur Picea abies, de Dendroctonus micans, avec d'importants dommages dans les forêts de Lozère notamment; (4) le développement en Ardèche, sur Abies alba, de pullulations de Choristoneura murinana, espèce bien connue comme ravageur en Europe centrale et du Nord surtout mais dont la pullulation est observée pour la première fois en région aussi méridionale; (5) d'autres introductions peut-être un peu plus mineures, comme celles de Gonipterus scutellatus et Ctenarytaina eucalypti sur eucalyptus. La lutte chimique convient àT. pityocampa, M. feytaudi et C. murinana, alors qu'il faut envisager l'introduction d'ennemis naturels contre C. laportei et D. micans. La sélection d'espèces ou de provenances rèsistantes aux pucerons du cèdre ou àM. feytaudi semble prometteuse, comme l'emploi éventuel de phéromones dans le cas des scolytes.  相似文献   

10.
Il a été démonstré que les Fusarium spp., et en particulier les F. oxysporum, jouent un role dominant dans les mécanismes de résistance aux fusarioses vasculaires de certains sols. Vu l'activité très differente des souches isolées de ces sols et la nécessité d'appliquer des méthodes de lutte biologique efficaces contre les fusarioses vasculaires, il importe de choisir les souches les plus actives. La méthode décrite utilise, comme modèle d'étude, le couple lin-F. oxysporum f. sp. lini et repose sur l'évaluation de l'antagonisme exprimé par des souches de Fusarium non pathogènes introduites et incubées à 25°C pendant 20 j dans un sol préalablement traitéà la chaleur (100°C, 60 min). Elle a permis de travailler sur un nombre élevé de plantes et avec des quantités de terre très limitées et d'obtenir rapidement les resultats. Elle s'est révélée très sensible et a permis de sélectionner les souches, soit sur leur aptitude à coloniser le sol, soit sur leur aptitude à coloniser les racines de la plante et à y induire d'éventuels phénomènes post-infectieux de défense.  相似文献   

11.
Les auteurs exposent une partie d'une série d'études préliminaires de plein champ effectuées en 1981 en Alsace, sur Lobesia botrana. Ces observations sur la biologie de l'insecte sont destinées à adapter ultérieurement au vignoble alsacien le modèle de prévision, mis au point dès 1979 par Touzeau pour la région Midi-Pyrénées. Le modèle se réfère à l'apparition des différents stades et des différentes générations de ce ravageur. Chacune des observations effectuées est déterminée par les sous-modèles qui prennent en compte l'évolution de l'espèce au cours d'une saison en fonction de données climatologiques bien définies (sommes de températures plus particulièrement). Seuls sont abordés dans cet exposé les résultats et les observations portant sur la génération printanière.  相似文献   

12.
J.L. Hardie 《EPPO Bulletin》1976,6(4):221-222
Clonal selection with associated clinical tests and based on stem cuttings as the initial propagative material has been successfully adopted as a method of producing nuclear stocks of potato varieties free from certain important viruses, fungi and bacteria. The maintenance of health of such nuclear material during the subsequent period of multiplication to commercial quantities, however, has emphasized that gaps in our knowledge of the epidemiology of the diseases caused by these organisms exist and require investigation, so that clonal selection programs can make a maximum contribution to crop improvement. La sélection clonale assortie de tests cliniques, basés sur le bouturage par prélèvement sur tiges pour le matériel initial de reproduction, a été adoptée avec succès pour la production de stocks nucléaires de variétés de pommes de terre indemnes de certains virus, champignons et battéries importants. Les difficultés rencontrées dans le maintien d'une qualité sanitaire élevée de ce matériel nucléaire, pendant la phase de multiplication précédant la commercialisation, ont révélé les lacunes qui subsistent dans la connaissance épidémiologique des différents organismes pathogènes en cause.  相似文献   

13.
Z. Soufi  P. DAGET 《Weed Research》1986,26(4):299-300
L'analyse de la littérature a permis de relever 610 espèces de mauvaises herbes en Syrie; elles se répartissent en 251 genres et 48 familles. La flore complète comporte 3460 espèces, 867 genres et 130 familles. The weeds of Syria An analysis of the literature shows there are 610 species of weeds in Syria. They are grouped in 251 genera and 48 families. The complete flora contains 3460 species, 867 genera and 130 families. Die Unkräuter von Syrien Eine Analyse der vorhandenen Literatur hat ergeben, dass 610 in Syrien vorkommende Arten als Unkräuter bezeichnet werden können; sie verteilen sich auf 251 Gattungen und 48 Familien. Die komplette Flora umfasst 3460 Arten, 867 Gattungen und 130 Familien. Le dernier volume de la flore de Mouterde (1962–1985) sur la Syrie vient de paraître, édités par Charpin. Pour chaque taxon cité, l'auteur indique dans quel type de milieu il peut être trouvé. C'est à partir de cet ouvrage, quand il était encore inachevé, qu'ont été préparé divers documents sur les mauvaises herbes de Syrie (Ann., s.d.). Nous avons repris l'exploitation complète des indications stationnelles de Mouterde pour établir cinq listes (Soufi 1985), à savoir: (i) listes des mauvaises herbes, comportant les espèces localisées dans les cultures: les stations indiquées sont ‘terres de culture’, ‘champs de blé’, ‘céréales’, ‘vignes’, ‘vergers’, etc.; (ii) liste des espèces de mauvaises herbes potentielles, localisées dans les ‘abords de cultures’, ‘champs pierreux’ (136 espèces); (iii) liste des espèces se trouvant dans les ‘terrains à l'abandon’, ‘lieux incultes’, ‘jachères’ (71 espèces); (iv) liste des plantes parasites; (v) liste des espèces des ‘terrains à l'abandon’ et ‘lieux incultes’, mais ne pouvant devenir des mauvaises herbes; par exemple parce qu'elles sont ligneuses (20 espèces). Pour chacune de ces catégories, des listes alphabétiques ou taxinomiques ont été publiées (Soufi 1985) et peuvent être obtenues, ensemble ou séparément, sur simple demande. Seule la première liste, qui rassemble les mauvaises herbes à proprement parler, sera analysée ici. Elle compate 610 espèces ou sous-espèces, en 251 genres et 48 familles. À titre de comparaison, l'ensemble de la flore syrienne, analysé par Daget et Al Hakim (s.p.), comporte 3460 espèces ou sous-espèces, en 867 genres et 131 familles. Pour les mauvaises herbes, il y a donc: 12.7 espèces par famille concernée, 2.4 espèces par genre concerne et 5.3 genres par famille concernée. Pour l'ensemble de la flore, ces ratios sont respectivement de 26.6, 4 et 6.7. La flore des mauvaises herbes est donc taxonomiquement moins riche, mais plus variée que la flore dans son ensemble. Le tableau I donne le détail de la répartition des taxons. Les familles comportant plus de 10 genres sont dans l'ordre adoptées par Hutchinson (1959): Papillonaceae (21), Cruciferacees (32), Ombeliferacees (24), Compositae (39), Labiatae (13), Liliaceae (12), Gramineae (19). Les 24 familles monogénériques sont suivant le même ordre: Urticacaea, Rutaceae, Valerianaceae, Violaceae, Aristolochiaceae, Convolvulaceae, Polygalaceae, Resedaceae, Aconthaceae, Linaceae, Portulacaceae, Orobanchaceae, Zygophylaceae, Chenopodiaceae, Oxalidaceae, Clusiaceae, Amaronthaceae, Cuscutaceae, Loranthaceae, Gentianaceae, Orchidiaceae, Santalaceae, Plantaginaceae, Cyperaceae. Les 7 genres comportant plus de 10 espèces sont: Astragalus (16), Medicago (10), Trifolium (10), Euphorbia (17), Silene (11), Veronica (15), Salvia(12). Les 15 familles comportant plus de 10 espèces sont: Papilionaceae (179), Malvaceae (13), Euphorbiaceae (20), Rubiaceae (10), Papaveraceae (16), Cruciferaceae (53), Caryophylaceae (23), Ombeliferaceae (40), Dipsacaceae (11), Compositae (78), Scrofulariacae (34), Boraginae (12), Labiatae (37), Lilaceae (38), Graminae (32). Enfin les 10 familles mono spécifiques sont: Urticaceae, Polygalaceae, Zygophyllaceae, Clusiaceae, Loranthaceae, Portulacaceae, Gentianaceae, Acanthaceae, Orchidiaceae, Cyperaceae. Les travaux en cours portent sur l'étude du comportement biogéographique des mauvaises herbes et sur celle de leur répartition dans le territoire syrien. Une prochaine note en donnera les premiers résultats.  相似文献   

14.
15.
F. Spitz 《EPPO Bulletin》1977,7(2):165-175
Microtus arvalis (Pallas) a une histoire récente qui se rattache à celle des glaciations et de l'agriculture. Son écologie et son histoire sont liées et expliquent les particularités actuelles, entre autres le fait qu'il existe des zones presque dépourvues de campagnols et d'autres où ils pullulent régulièrement. Le présent travail résume nos connaissances sur la démographie de l'espèce. Après un rappel de quelques théories anciennes ou récentes, on évoque les principaux facteurs qui agissent sur les populations: la structure de l'environnement (les campagnols aiment les agrosystèmes peu intensifs et sont surtout affectés par l'importance des biotopes d'hiver disponibles), le climat et l'alimentation (qui déterminent leur rythme biologique saisonnier, et le modulent s'ils s'écartent de la normale), le comportement individuel et social (déplacements, compétition). Une synthèse est présentée de l'évolution de la situation des campagnols à diverses échelles (parcelle, région). Par référence à un exemple typique s'appuyant sur des éléments indiscutables, on estime qu'une pullulation «moyenne« (non aggravée par la sécheresse) amène des pertes largement supérieures à 120 FF/ha, ce qui justifie les investissements que l'on peut faire dans un système de prévision et dans une lutte préventive.  相似文献   

16.
D. CADAHIA 《EPPO Bulletin》1986,16(2):265-283
Ce travail résume la situation phytosanitaire du genre Eucalyptus en se référant aux insectes ravageurs qui mettent en danger les plantations artificielles dans le monde et plus particulièrement dans le bassin Méditerranéen. Parmi les 54 espèces citées, 10 ont dépassé les frontières de leur aire d'origine et, parmi ces derniers, 6 se trouvent sur d'autres continents et 3 dans la région méditerranéenne. Il est fait état aussi des mesures phytosanitaires touchant à la quarantaine, mises en place pour l'Eucalyptusà l'initiative de l'OEPP. Les ravages causés par les insectes polyphages dans la région méditerranéenne sont récapitulés. Les 3 insectes mentionnés sont spécifiquement inféodés au genre Eucalyptus et causent des dégats en région méditerranéenne. La présente étude s'y attache en précisant leur extension et les moyens de lutte susceptibles d'etre mis en oeuvre. En ce qui concerne Ctenarytaina eucalypti quia atteint nos régions durant les années soixante, on assiste à son extension, mais l'action des syrphides prédateurs parvient à en contenir les populations. Quant àGonipterus scutellatus apparu en région méditerranéenne vers 1975, il n'a pas connu l'extension à laquelle on pouvait s'attendre en tenant compte de son potentiel de dispersion élevé. L'espèce demeure peu préoccupante, mais doit faire l'objet d'attention surtout sur les eucalyptus ornementaux où les dégats peuvent etre sensibles. Elle se rencontre sur la Riviera italienne et dans le Midi de la France où ses populations sont controlées par le parasite oophage Patasson nitens. Au cours des dernières années, le ravageur le plus redoutable est certainement Phoracantha semipunctata qui s'est répandu dans la partie occidentale du bassin Méditerranéen. En ce moment, seules la France, la Yougoslavie et la Grèce sont demeurées indemnes. Cette diffusion rapide est à mettre en rapport avec l'état d'extreme déficience des arbres, essentiellement du à la sécheresse et à la pauvreté des sols. La stratégie de lutte menée en Italie s'est révéléc efficace; elle consiste à intervenir dès le début de l'attaque des peuplements en pratiquant des coupes et en utilisant rapidement le bois affecté. De cette facon, l'importance des populations s'est vue considérablement réduite. D'une facon générale, les racines ont donné des repousses vigoureuses sauf dans les cas où les coupes ont été faites tardivement. L'expérience espagnole de lutte par des arbres-pièges sur de vastes étendues est également très intéressante. Par ce moyen il a été possible d'observer une réduction moyenne des populations de 75% avec une rentabilité de 246–611%.  相似文献   

17.
G. Mathys 《EPPO Bulletin》1977,7(3):601-629
L'alignement sur des méthodes normalisées reconnues constitue une simplification considérable du travail pour l'industrie et les instances officielles chargées dévaluer l'efficacité des nouveaux pesticides. Les résultats obtenus en application d'une méthode commune deviennent comparables et les extrapolations ou fractionnements de l'expérimentation sont alors relativement faciles. La France, en 1952 déjà, puis la République Fédérale d'Allemagne ont été parmi les premiers en Europe à reconnaître toute la valeur de létablissement de méthodes agréées par les services officiels et l'industrie. De son côté, le Comité Européen de Recherche sur les Mauvaises Herbes (EWRC) s'est penché sur létude des possibilités de parvenir à une entente sur la façon dévaluer l'efficacité des herbicides, alors que I'OEPP a commencé en 1971 ses travaux sur les rodenticides, insecticides, acaricides et nématicides, ainsi que sur les affections fongiques. Depuis, 5 méthodes intéressant 7 espèces de rongeurs ont été adoptées par les 35 pays membres de I'OEPP et publiées, alors que 5 méthodes concernant les champignons et 10 méthodes les insectes et acariens sont à l'impression; par ailleurs, 29 méthodes font présentement l'objet détudes appro-fondies. Depuis 1976, des contacts ont été pris avec l'ASTM (American Society for Testing and Materials) dans le dessein de parvenir à une harmonisation des technologies à l'échelle inter-régionale.  相似文献   

18.
Des pourritures et flétrissements bactériens dus àErwinia chrysanthemi sont inventoriés aujourd'hui sur plus de 25 espèces de plantes cultivées (dont la pomme de terre depuis 1971) et dans de norabreux pays tempérés ou tropicaux. Cette diversité géographique et de gamme d'hôtes mérite des études approfondies. L'espèce bactérienne E. chrysanthemi est subdivisée dans le Bergey's Manual de 1984 en six pathovars: chrysanthemi, dianthicola, dieffenbachiae, paradisiaca, parthenii et zeae. Que faire des E. chrysanthemi isolées de pomme de terre, tomate, endive, artichaut? Au lieu de classer les isolats en pathovars, il paraît souhaitable, car simple et fiable, d'adopter le classement en biovars d'après des critères physiologiques de laboratoire mis en évidence ces dernières années, et qui se révèlent discriminants (croissance à 39°C; hydrolyse de l'arginine selon Moeller, de la lécithine et de la gélatine; utilisation des sources de carbone suivantes: cis-aconitate, D(-)arabinose, 5-cétogluconate, inuline, mannitol, mélibiose, raffinose, D(-)tartrate). Il est également important, avant d'entreprendre une détection par sérologie, de connaître l'appartenance des isolats aux sérogroupes connus (antigènes de paroi) et leur type flagellaire.  相似文献   

19.
D. MUGNI RY 《EPPO Bulletin》1985,15(2):199-206
La résistance àGlobodera rostochiensis et àG. pallida chez la quasi-totalité des clones de pommes de terre connus s'exprime essentiellement par un blocage du développement des larves L2 et, pour les individus qui parviennent a se développer, par une orientation préférentielle vers le phénotype mâle. Tout effet défavorable sur les nématodes accentue ces deux phénomènes. Certains effets, tels que la compétition intraspécifique, le vieillissement des larves et les interactions avec la population choisie comme inoculum standard, sont analysés. Il en ressort que, quel que soil le type de test pratiqué, en pots ou en boîtes de Pétri, il faut porter la plus grande attention à l'origine de l'inoculum et l'idéal est d'utiliser une population se développant bien dans les clones sans résistance. Ce choix fait, il convient de limiter les niveaux de compétition intraspécifique: en boîtes de Pétri, un effectif de cinq larves par racine est un optimum; en pots, une densité de 0,25 larves par g de sol est souhaitable. Pour les tests exécutés en boîtes de Pétri, il faut veiller á ne pas utiliser des larves conservées trop longtemps á basse température, condition classique de conservation qui diminue leur potentiel infectieux.  相似文献   

20.
Le LM 2219 (nom commun proposé diféthialone), nouveau rodenticide antivitaminique K, fait preuve d'une excellente activité contre les rongeurs commensaux. Nous l'avons expérimenté contre les rongeurs des champs. En l'absence de données complètes d'écotoxicité et compte tenu des premiers résultats qui indiquent une toxicité non négligeable pour certaines espéces sauvages non cibles, il est proposé de restreindre son utilisation aux cas oú les appâts sont déposés sous le sol ou dans les terriers, c'est-à-dire à la lutte contre Arvicola terrestris et Pitymys duodecimcostatus. Pour ces deux espèces, la présentation d'un appât titréà 25 mg kg-1 pendant 24 h dans des essais de laboratoire avec ou sans choix de nourriture a entraîné une mortalité d'aumoins 90%. A. terrestrisétait un peu moins sensible que P. duodecimcostatus, les délais moyens de mortalitéétant augmentés de 5,9 j à 10,3 j. Dans des essais en nature (prairies permanentes du Jura et d'Auvergne), au printemps et en automne 1986, le LM 2219 a montré une efficacitéégale sinon supérieure à la bromadiolone, au 1/4 de la dose dans l'appât, même dans le cas d'une forte infestation d'A. terrestris. Pour P. duodecimcostatus un premier essai, réalisé dans de mauvaises conditions climatiques a montré une excellente activité pour le LM 2219 en comparaison avec la bromadiolone.  相似文献   

设为首页 | 免责声明 | 关于勤云 | 加入收藏

Copyright©北京勤云科技发展有限公司    京ICP备09084417号-23

京公网安备 11010802026262号