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1.
A calculated correction factor due to food respiration is applied to the consumption term in energy budgets for invertebrates. The factor is expressed as a function of the growth rate of the invertebrates, the food respiration rate and the fraction of food remaining when changed. It is shown that applying this correction factor to several energy budgets balances them.
Résumé Il est bien connu que, dans les bilans énergétiques des invertébrés l'assimilation, calculée comme différence entre la consommation et la defécation, est supérieure à celle calculée comme addition de la production et de la respiration. Un terme de correction tenant compte de la respiration de la nourriture a été calculé pour être utilisé dans le calcul de la consommation. Il dépend de la vitesse de croissance des invertébrés, du taux de respiration de l'aliment et de la fraction qui en est consommée. Mais on constate que la vitesse de croissance des invertébrés n'influence que peu ce terme de correction, tandis que les deux autres facteurs, particulièrement la fraction de nourriture consommée, peuvent être très importants. La vitesse de croissance peut donc être considérée comme constante, ce qui permet un calcul exact du terme de correction. En l'appliquant à différents bilans énergétiques, les différences entre les deux estimations qui atteignaient 30% et 250%, se trouvent réduites à moins de 4%.
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2.
The maximum metabolic cost of microsomal mixed-function oxidase (MFO) induction was measured in terms of food utilization parameters. MFOs in larvae of Heliothis zea (Boddie) (Lepidoptera: Noctuidae) were induced by feeding on diet containing indole 3-carbinol (I3C). Growth, food utilization parameters, cytochrome P-450 content and O-demethylase activity of these larvae were compared to larvae reared on the same diet without I3C. Three-fold to nine-fold greater O-demethylase activity and seven-fold more cytochrome P-450 were measured in larvae fed I3C, but no differences were detected in the food utilization and growth parameters. These results do not support the view that costs of MFO induction may be responsible for differences in food utilization parameters.
Coûts métaboliques de l'induction de la fonction oxydase mixte chez Heliothis zea
Résumé Le coût métabolique maximum de l'induction de la fonction oxydase mixte microsomale (MFO) a été évalué au moyen de paramètres caractérisant l'utilisation de l'aliment. Les MFO des chenilles d' H. zea ont été induites en les élevant avec un régime contenant 0,2% d'indole 3-carbinol (I3C) en poids/poids humide. L'induction a été mise en évidence en mesurant l'O-deméthylation du pnitroanisole par les microsomes de l'intestin des larves des 4ème et 5ème stades, et la teneur en cytochrome P-450 (mesurée par les différences des spectres de l'oxyde de carbone) des microsomes de l'intestin des larves du 5ème stade élevées avec I3C et témoins. La digestibilité approchée, l'efficacité de la conversion de l'aliment digéré et l'efficacité de la conversion de l'aliment ingéré (évaluée d'après la durée de développement larvaire de la néonate à la prénymphe), le temps pour atteindre le stade prénymphe, le poids final, on été comparés chez les témoins et chez les chenilles élevées sur I3C. Les chenilles élevées sur I3C ont présenté une activité O-deméthylase 3 à 2 fois supérieure et 7 fois plus de cytochrome P-450, mais aucune différence n'a pu être décelée pour les paramètres d'utilisation alimentaire et de croissance. Ces résultats ne confirment pas l'hypothèse suivant laquelle le coût de l'induction de MFO pourraît être responsable de différences dans les paramètres de l'utilisation de l'aliment.
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3.
Laboratory experiments on the preferences of Prays citri females to surfaces of different colours for oviposition, showed that the insects preferred blue, yellow, white, black and red in that order. Similar results were obtained in conjunction with different light intensities for oviposition. Although slight differences were observed between deep blue, which was preferred at light intensities >200 lux, and light blue, preferred at intensities <200 lux, yellow and white were in both instances the second preference. A comparison of the effect of two light intensities on the oviposition responses of females, showed the higher value (within the range 0.5–300 lux) to be preferred over the lower one. By contrast, within the range 200–450 lux the lower value of light intensity was preferred.
Résumé Des expériences de laboratoire ont montré que les femelles de Pray citri préfèrent dans l'ordre, pour pondre, les surfaces colorées suivantes: bleu, jaune, blanc, noir et rouge. Des résultats semblables ont été obtenus en faisant intervenir simultanément différentes intensités lumineuses. De légères différences ont été notées entre le bleu foncé et le bleu clair, le premier étant préféré pour des intensités lumineuses de moins de 200 lux, le second pour des intensités supérieures à 200 lux; mais dans les deux cas le jaune et le blanc restent classés en seconde préférence.La comparaison des effets de deux gammes d'intensités lumineuses différentes sur le comportement de ponte, montre que pour la gamme de 0,5 à 300 lux ce sont les valeurs les plus élevées qui sont préférées, alors que pour la gamme de 200 à 450 lux, ce sont les valeurs les plus faibles.


Contribution from The Volcani Center, Agricultural Research Organization. Bet Dagan, Israel. 1972 Series, No. 9240-E.  相似文献   

4.
Quantitative nutritional indices were measured in 3rd instar gypsy moths, Lymantria dispar L. Analyses of the main and interactive effects of host plant consumed (oak or pine), foliar phenology (early or late season) and larval dietary history (whether fed artificial diet or foliage as second instars) indicate that larval performance was significantly affected by all three variables tested. Relative Growth Rate (RGR) was higher on oak than pine early in the season, but the reverse occurred one month later, owing largely to the slower Relative Consumption Rate (RCR) of late season oak feeders. Efficiency of Conversion of Digested food (ECD) was depressed in larvae fed pine foliage for two instars compared with those fed oak. The interaction between larval dietary history and foliar phenology produced significant effects on all indices measured. Foliar analyses showed that, as the season progressed, oak had a higher percent dry weight than did pine. On a dry weight basis, pine foliage had significantly less total and protein nitrogen than did oak collected at the same time.
Résumé Les indices nutritionnels larvaires ont été évalués sur des chenilles de L. dispar L. du troisième stade. L'analyse des effets et des interactions de la nature de la plante consommée (Quercus microcarpa) ou Pinus strobus, de la phénologie foliaire (en début de saison, c'est-à-dire seconde quinzaine de mai, ou en fin de saison, c'est-à-dire à la mi-juin), de l'alimentation antérieure (régime artificiel de germes de blé ou feuillage pendant le second stade) montre que les performances larvaires sont fortement modifiées par ces 3 variables. Le taux de croissance relative (RGR) est plus élevé sur chêne que sur pin en début de saison, mais s'inverse un mois plus tard avec une forte diminution sur chêne. L'efficacité de conversion de l'aliment (ECD) est diminuée sur pin pendant les second et troisième stades. L'interaction entre l'alimentation antérieure et le phénologie foliaire a des effets significatifs sur la digestibilité approchée (AD), sur l'efficacité de la conversion de l'aliment ingéré (ECI), et sur ECD, RCR et RGR.Les analyses foliaires ont montré que, lorsque la saison avance, le poids sec du chêne devient supérieur à celui du pin. En considérant le poids sec, le feuillage de pin contient moins d'aliments et de protéines que le chêne récolté au même moment. La teneur en azote tend à diminuer chez les deux espèces, de 17% pour le pin et 26% pour le chêne.Nous pensons que certains de ces facteurs déterminent la valeur de ces plantes pour L. dispar. Les chenilles âgées peuvent compenser plus ou moins la faible assimilation sur pin par des RCR plus élevés. Le même comportement ne semble pas possible sur chêne, une plus grande quantité de chêne avancé en saison que de feuilles jeunes ne pouvant être consommée pour compenser la diminution de la digestibilité.
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5.
Tolerance to two chlorinated hydrocarbon (DDT and endrin) and two organophosphorous insecticides (trichlorfon and ronnel) in 18 Italian bee colonies was studied using topical applications. The LD50 values obtained for each insecticide were subjected to a component of variance analysis. Correlation coefficients between LD50's for the various insecticides and between LD50 and body weight and fat content were also calculated.From a consideration of the variation between colonies, it is suggested that selection based on the exploitation of existing polygenic variation can provide only minor increases in LD50's, and that development of resistant bee strains will require methods that capitalize upon major gene mutations.
Résumé La tolérance envers 2 organochlorés (DDT et endrin) et envers 2 esters phosphoriques (trichlorfon et ronnel) a été étudiée dans 18 colonies d'abeilles italiennes. La méthode employée a consisté dans l'application sur la partie dorsale du thorax, d'une solution acétonique d'insecticide. Les abeilles ont été maintenues en groupes de 10 individus dans des sacs de polyvinyl à une température de 26° C et 70 H.R., avec une réserve d'eau et un mélange de sucre et de miel. La mortalité a été évaluée après 24 heures. L'action de chaque insecticide sur une colonie a été évaluée trois fois pendant l'expérience. La teneur en lipides des abeilles de chaque colonie a été déterminée par extraction à l'éther. Les valeurs der DL50 obtenues ont été analysées statistiquement. On a évalué aussi les coefficients de corrélation entre les DL50 pour chaque insecticide ainsi que la relation entre la DL50, le poids des insectes et leur teneur en lipides.La fréquence de distribution de DL50 pour chaque colonie a été normale pour le trichlorfon, le ronnel et l'endrin tandis qu'elle était irrégulière pour le DDT: les valeurs de DL50 pour 2 colonies étaient 2 fois plus élevées que pour les autres. Les différences dans les valeurs des DL50 entre les colonies étaient significatives à l'exception de l'endrin. Le degré de répétition de ces différences était très marqué pour le ronnel, moyen pour le DDT, et assez bas pour l'endrin et le trichlorfon. Une corrélation positive a été décelée entre la résistance envers certains insecticides. Cette corrélation a été plus marquée entre le trichlorfon et le ronnel, le DDT et le ronnel, moins marquée entre le DDT et l'endrin, et entre le trichlorfon et l'endrin ou le ronnel et presque nul entre le ronnel et l'endrin. On a trouvé une corrélation directe assez importante entre le poids des insectes vivants et la DL50 pour les produits organophosphorés et une corrélation indirecte entre la teneur en lipides et la DL50 pour le DDT.En considérant les différences entre les colonies, on arrive à la conclusion que la sélection basée sur l'utilisation des variations polygéniques existantes peut expliquer seulement des augmentations minimes dans les valeurs de la DL50 (1 à 2 g), mais le développement des souches résistantes chez les abeilles doit être basé sur des mutations de gènes majeurs.
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6.
A comparison was made in a 16-sided outdoor cage measuring 15 m in diameter of the numbers and physiological stages of mosquitoes taken in a light trap sample from a known population. For each brood, six suction and five light collections were made each night for six successive nights. Both response to light and flight activity tended to increase with age. However, neither the numbers taken at different times during the night nor the ovarian composition of the samples were comparable to collections made outdoors. These differences were probably caused by the contrast between illumination levels inside and outside the cage interacting with the circadian rhythm of crepuscular activity and the physical restrictions of the cage.
Résumé Le but de cette étude est de déterminer le rapport existant entre un échantillonnage par piège lumineux et la population réelle.Des moustiques, venus d'atteindre le stade imaginal, sont relâchés dans une vaste cage de 15 m de diamètre et de 2.5 m d'hauteur, puis sont seulement alimentés de sucre. La proportion de femelles autogènes, le taux d'accouplements, et les réserves énergétiques de chaque couvée ont été précisés. Pour chaque couvée, un mécanisme d'échantillonnage fait alternativement des échantillons par aspiration ou par lumière (en realité aspiration et lumière) pendant six nuits successives. L'échantillon par aspiration 1er commençait au coucher de soleil et terminait au crépuscule astronomique. Un échantillon (échantillon 2me), de duration 5 minutes, se faisait à cette heure et encore à 2200 (échantillon 4me), 0000 (échantillon 6me), 0200 (échantillon 8me) et au crépuscule astronomique du matin (échantillon 10me). Les échantillons 3me, 5me, 7me, 9me et 11me occupaient toutes les autres heures. Du clair de lune simulé se fournissait pour maintenir un niveau uniforme d'illumination pendant toutes les heures sauf les temps des échantillons crépusculaires. En compensation pour les durées inégales des échantillons par aspiration, on a reduit les données au nombre d'individus capturés en 5 minutes. Un échantillon à filet de balayage se faisait suivant les opérations de chaque nuit. Chaque jour on collectionnait les moustiques morts et on estimait les moustiques vivants dans la cage. On examinait les moustiques capturés pour déterminer l'état des ovaires des femelles. En addition, on opérait le mécanisme d'échantillonnage au dehors de la cage.Chaque couvée possédait ses propres caractéristiques concernant la proportion de femelles autogènes et accouplés, et pour les deux sexes la proportion alimenté de sucre, les réserves énergétiques, la mortalité, la réaction à la lumière et le niveau de l'activité du vol. Pour les femelles le niveau de l'activité du vol et la réaction à la lumière semblaient à augmenter avec l'âge, et la réaction à la lumière accroissait plus rapidement qu'accroissait l'activité du vol. A des heures différentes de la nuit il y avait peu de variation d'état des ovaires des femelles échantillonnées, mais il y avait plus de variation entre les échantillons par les méthodes différentes; par example, la proportion la plus petite des femelles gravides s'échantillonnait par filet de balayage et la proportion la plus grande par piège lumineux. La proportion la plus grande des moustiques alimentés de sucre aussi s'échantillonnait par filet de balayage.Les échantillons par aspiration 1er et 11me étaient petits et ne montraient pas des cimes d'activité crépusculaire, tandis que les échantillons 7me et 9me étaient plus grands que les 3e et 5me. Les échantillons par piège de lumière 2e et 10me prenaient deux fois plus des femelles que chacun des autres échantillons par piège de lumière. Le dessin des échantillons par aspiration et par piège de lumière dans la cage ne ressemblait pas au dessin au dehors. Ces différences probablement ont été causées par le contraste entre les niveaux d'illumination à l'intérieur et à l'extérieur de la cage qui s'entragit avec le rhythme circadien d'activité crépusculaire et les restrictions physiques imposées par la cage. Le comportement normal n'était pas possible et les résultats d'échantillonnage obtenus dans une cage, même tellement grande, n'étaient pas comparable aux résultats aux conditions naturelles.
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7.
Fresh weight (fw) food consumption by caterpillars of Anticarsia gemmatalis Hübner (Lepidoptera: Noctuidae) increased almost 2-fold as the nutrients in an artificial diet were increasingly diluted with water (diets contained 65, 79, 86 or 89% fw water). Nonetheless, dry weight (dw) relative consumption rate (RCR) declined with diet dilution. The efficiency at which the consumed food is digested and assimilated (approximate digestibility, AD) increased on the 3 diluted diets, and the efficiency at which digested food is converted to biomass (ECD) increased on the 79 and 86% fw diets. As a consequence, dw gained and relative growth rate (RGR), which is the product of RCR x AD x ECD, on the 79% fw diet were similar to those on the 65% fw diet, but they declined on the more diluted diets. Relative nitrogen consumption rate also declined with dietary dilution, but this was compensated by an increase in nitrogen utilization efficiency such that the product of these, relative nitrogen accumulation rate, was similar on all four diets. Insect lipid content declined from 32% on the undiluted diet to 13% dw on the most diluted diet, and was primarily responsible for the decline in RGR. The increases in fw consumption and AD, while not preventing a decline in RGR on the two most diluted diets, mitigated the impact of dietary dilution (e.g., without these increases, RGR on the most diluted diet would have been only 43% of that attained). These results indicate that the consumption and utilization of food are dynamic processes, and that caterpillars of A. gemmatalis, like many other insects, exhibit compensatory responses to changes in dietary quality.
Résumé Peu de travaux ont examiné l'aptitude des insectes à modifier leur consommation et l'utilisation des aliments en fonction des variations qualitatives et quantitatives connues de l'aliment. On a rarement examiné si ces modifications sont adaptatives, si elles maintiennent le taux de croissance et le niveau des ressources, ou si elles limitent au moins les effets nuisibles du changement d'aliment. En utilisant une technique gravimétrique, nous avons mesuré le gain des poids, l'aliment consommé et les excréments produits par des chenilles de A. gemmatalis Hübn. (Lep, Noctuidea), important ravageur du soja aux USA.La consommation en poids frais (fw) a augmenté presque 2 fois quand le régime artificiel a été dilué progressivement avec de l'eau (65, 79, 86 ou 89% d'eau); le poids sec (dw) et le taux de consommation relative (RCR) ont diminué néanmoins avec la dilution. L'efficacité de digestion et d'assimilation de l'aliment consommé (digestibilité approchée, AD) a augmenté pour les trois dilutions, l'efficacité de conversion en biomasse de l'aliment digéré (ECD) a augmenté dans les dilutions à 79 et 85%, mais a diminué pour les régimes plus dilués. Par conséquent, le gain dw et le RGR, — produit de RCR x AD x ECD-, étaient identiques avec le régime à 79% fw à ceux de 65% fw, mais ont diminué pour les régimes plus dilués. Le taux relatif d'efficacité de consommation d'azote a diminué aussi avec la dilution, mais il a été compensé par un accroissement de l'efficacité de l'utilisation de l'azole tel, que le produit,-taux relatif d'accumulation de l'azote-, était le même pour les quatre régimes. La teneur en lipides des insectes a diminué, de 32% pour le régime sans dilution, à 13% pour le régime le plus dilué; elle a été le principal responsable de la diminution de RGR. L'accroissement de la consommation fw et de AD, tout en n'empêchant pas la diminution de RGR pour les deux régimes les plus dilués, a limité l'effet de la dilution (sans ces accroissements, le RGR du régime le plus dilué n'aurait été que 43% du RGR obtenu).Ces résultats indiquent que la consommation et l'utilisation d'aliments constituent un processus dynamique, et que les chenilles de A. gemmatalis comme beaucoup d'autres insectes, présentent des réactions compensatrices au changement de qualité de l'aliment. De telles variations dans la consommation d'aliments ont des conséquences écologiques (consommation accrue de substances allélochimiques potentiellement toxiques et exposition accrue aux causes biologiques de mortalité pendant l'alimentation), et intéressent l'organisation de la protection contre les insectes:-en permettant la manipulation de l'alimentation des insectes pour augmenter la consommation à court terme d'agents bioactifs, et, par ce moyen, réduire la consommation totale,-en permettant d'améliorer la modélisation des dégâts alimentaires prévisibles, qui, pour être efficace, devrait inclure les variations de l'alimentation en fonction de la qualité alimentaire de la plante cultiveé.
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8.
Résumé Les nombreuses mesures effectuées pour évaluer le métabolisme de base chez l'homme ont montré qu'il existe une différence dans le métabolisme basal en relation avec le sexe. Le métabolisme de l'homme étant en moyenne supérieur de 6 à 7% au métabolisme de la femme.Ce caractère de sexualité ne peut pas se rattacher directement à une différence dans le comportement des glandes génitales ou des hormones de l'un et l'autre sexe et nous ne pouvous pas le considérer comme une espèce de caractère sexuel secondaire.Les recherches deRiddle et ses collaborateurs sur le métabolisme du Pigeon ont montré que, pour l'uf et l'embryon de cette espèce, le métabolisme du mâle est plus élevé que celui de la femelle.Divers autres travaux font ressortir la mÊme différence de métabolisme en faveur du mâle dans d'autres espèces; Rat, Batraciens etc.Ce caractère de sexualité, métabolisme plus élevé chez le mâle, est une conséquence de l'activité respiratoire plus forte dans les cellules de ce sexe. L'interprétation des expériences deRiddle sur les embryons nous permet de rattacher la plus grande activité respiratoire de ces cellules à leur pouvoir d'oxydation (rH intracellulaire) plus élevé.Les différences sexuelles dans le métabolisme nous apparaissent alors comme une manifestation de la 1e loi de sexualisation cytoplasmique et nous pouvons supposer que ces différences de métabolisme ont une aussi grande généralité que la loi dont elles sont une des conséquences.  相似文献   

9.
The pattern of dietary lipid utilization was compared in Pieris brassicae larvae fed a seed oil-supplemented meridic diet or leaves of Brassica oleracea var. acephala. Meridic diet-fed larvae utilized mainly dietary triglycerides, but cabbage-fed larvae utilized dietary phospho- and glycolipids. The approximate digestibility of the meridic diet was lower than that of cabbage leaves. The coefficient of apparent digestibility for meridic diet neutral lipid was ca. 54%. Owing to different dietary lipid composition meridic diet-fed larvae accumulated more tissue neutral fat than cabbage-fed larvae: fresh weight of meridic diet-fed larvae increased four times, but tissue neutral lipid increased seventeen times during the fifth instar. About 50% of the neutral lipid increase may be due to lipid synthesis. The results suggest that seed oil-supplemented diets have an unbalanced lipid composition for this plant-feeding Lepidopteran. It is possible that the availability of seed oil fatty acids could be improved by adding phospholipids into seed oil-supplemented diets.
Utilisation des lipides par des chenilles de pieres brassicae élevées sur des naturales: conséquences pour une amélioration de millieux alimentaires
Resúmé On a comparé le mode d'utilisation des lipides par des chenilles de Pieris brassicae élevées sur un milieu méridique supplémenté avec de l'huile de germe de blé ou sur feuilles de chou, Brassica oleracea, var. acephala. La composition lipidique des deux milieux diffère nettement: les triglycérides représentent le principal élément des lipides de l'aliment méridique, tandis que ce sont des glycolipides et phospholipides qui prédominent dans l'aliment naturel.La digestibilité de l'aliment méridique est inférieur à celui des feuilles de chou. Le coefficient de digestibilité apparente des graisses neutres présentes dans l'aliment méridique est d'environ 54%; celui des phospho- et glycolipides de ce même aliment est nettement plus faible, ce qui indique leur moindre accessibilité biologique. L'accumulation d'acides gras libres dans la lumière intestinale est relativement plus élevée dans les larves nourries sur l'aliment méridique. En rapport avec ces différences dans la composition du régime alimentaire, les larves nourries sur aliment méridique accumulent plus de graisses neutres dans leurs tissus que celles élevées sur feuilles de chou: au cours du cinquième stade larvaire ce taux des graisses neutres s'accroît de sept fois, pour un accroissement de poids frais de la larve de quatre fois. Cette forte accumulation des graisses neutres est attribuée à un empêchement de l'absorption des lipides présents dans l'aliment méridique, les larves répondant alors par une synthèse accrue des lipides; ces lipides de synthèse pouvant représenter environ 50% de l'accroissement de la teneur en graisses neutres des tissus.Ces observations suggèrent qu'une alimentation plus équilibrée en lipides, pourrait être obtenue par l'addition de phospholipides dans le régime méridique. Le rôle possible des phospholipides dans l'absorption des lipides est discuté.
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10.
Gehu  Jean-Marie 《Plant Ecology》1977,34(2):117-125
Résumé Le concept de sigmassociation (sensu Tüxen 1973–1976) est discuté dans une première partie. Il dérive de la notion des complexes de groupements, progressivement développée par Braun-Blanquet dans les éditions successives de sa Pflanzensoziologie (1928, 1951, 1964). Le Tableau 1 résume les différences essentielles entre sigmassociation et complexe de groupements.Dans la deuxième partie de l'exposé, des examples de sigmassociations sont étudiés sur les côtes atlantiques françaises: ceux, notamment, des falaises cristallines armoricaines et des falaises crétaciques normandes. Le tableau 2 explicite bien les variations dans la combinaison des groupements pour chaque cas. A une combinaison différente des groupements constitutifs des sigmassociations correspond une physionomic totalement autre du paysage. Quelques problèmes concernant les sigmasystèmes sont présentés en conclusion.Parce que le concept de sigmassociation paraît spécialement fructueux pour le développement d'une science chère et tout particulièrement utile dans l'approche scientifique des problèmes de l'environnement végétal, j'ose dédier, très amicalement et à l'occasion de son 60ème anniversaire, cette modeste note, au Professeur V. Westhoff, éminent spécialiste de la végétation néerlandaise et inlassable protecteur de la Nature.
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11.
Ootheca production is here investigated in three species of field-dwelling cockroaches under both field and controlled conditions. Mating is shown to have a significant effect on the length of the pre-oviposition and inter-oviposition periods, fecundity, female longevity and the formation of the ootheca. The occurrence of facultative parthenogenesis is confirmed in Ectobius lapponicus and E. pallidus.
Résumé Les effets de l'accouplement sur certains aspects de la biologie de la reproduction ont été étudiés, pour trois espèces de blattes champêtres du genre Ectobius, à la fois en conditions expérimentales et en conditions naturelles. E. lapponicus et E. pallidus se révèlent être des parthénogénétiques facultatives, bien que ce mode de reproduction entraîne une réduction de la fertilité de ces espèces. Cette parthénogenèse est thélytoque. Quelques ufs non fécondés de E. panzeri se développent partiellement, mais n'éclosent pas. Des différences dans certains aspects de l'oviposition apparaissent chez les 3 espèces entre les femelles vierges et les femelles accouplées. Les périodes de pré-oviposition et d'inter-oviposition sont allongées chez les femelles vierges. La forme des oothèques varie, celles déposées par les femelles accouplées sont plus courtes et plus larges. Des différences spécifiques sont manifestes dans le mode de dépôt et dans le sens de rotation de l'oothèque, ce dernier caractère étant aussi affecté de quelque façon par la copulation. La longévité des femelles vierges est plus grande que celles des femelles accouplées, bien qu'un moindre nombre d'oothèques soit déposé. En général les femelles des trois espèces se comportent de façon semblable dans les conditions expérimentales et en milieu naturel.
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12.
The susceptibility of sorghum to the shoot fly Atherigona soccata Rondani, (Diptera: Muscidae) is affected by seedling age and is highest when seedlings are 8–12 days old. This corresponds with high moisture accumulation on the central leaf which is the path of newly hatched larva as it moves downwards from the oviposition site, towards the growing apex. Studies showed that leaf surface wetness (LSW) of the central shoot leaf was higher in 10-day old seedlings than in seedlings of other ages. Similarly, LSW was much higher in the susceptible sorghum genotype CSH 1 than in the resistant genotype IS 2146. Larvae moved faster towards the growing point and produced deadhearts much earlier in CSH 1 than in IS 2146. They also moved faster in 10-day old seedlings than in seedlings of other ages. It was also shown that the leaf surface wetness of the central shoot leaf is a more reliable parameter of resistance than the glossy leaf trait or trichome density.
L'influence de la humidité de la surface foliaire sur le comportement de la mouche des pousses du sorgho
Résumé La sensibilité du sorgho à la mouche des pousses du sorgho, Atherigona soccata Rondani, est liée à l'âge de la plantule. Elle est plus forte lorsque la plantule est âgée de 8 à 12 jours et la sensibilité est maximale à 10 jours. A ce stade de croissance on observe une forte accumulation d'humidité sur la feuille centrale de la tige. Les jeunes larves traversent cette zone humide lorsqu'elles descendent vers la zone de croissance à partir des pontes déposées sur la face ventrale des feuilles déroulées.Des études ont été menées à l'ICRISAT (Inde) sur la relation entre l'humidité de la feuille centrale de la tige des plantules du sorgho et les dégâts provoqués par la mouche des pousses. L'humidité de la surface des feuilles (HSF) a été estimée grâce à une échelle visuelle graduée 1 à 5 où, 1 = pas d'humidité apparente et 5 = surface de la feuille recouverte de gouttes d'eau. La HSF est plus élevée sur des pousses de sorgho âgées de 10 j que sur les pousses appartenant à d'autres classes d'âge. Les valeurs observées sont également plus fortes pour les variétés non résistantes à ce ravageur (CSH 1,4.8) que pour les variétés résistantes (IS 2146, (2)). La vitesse du déplacement larvaire entre le cornet et la zone de la croissance varie en fonction de l'âge de la plante et des cultivars. Les larves migrent plus rapidement vers la zone de croissance et provoquent la mort du coeur du sorgho plus tôt dans la variété CSH 1 que dans IS 2146. Les larves se déplacent plus rapidement dans les pousses âgées de 10 j que dans les pousses appartenant à d'autres classes d'âge.Des études ont également démontré que la HSF n'est pas directement liée au caractère feuille lisse où à la densité des trichomes. La HSF est faible pour les génotypes résistants présentent où non le caractère feuille lisse. Par contre la HSF est élevée pour les génotypes non résistants présentant le caractère feuille lisse ou non. Aucune relation directe entre la densité des trichomes et les dégâts provoqués par la mouche des pousses n'a pu être mise en évidence. L'analyse des correlations établie pour les caractères de surface des feuilles avec la mort du cur des sorghos indique que les correlations sont faibles et non-significatives pour le caractère feuille lisse (0.49) et la densité des trichomes (0.39 et 0.2). Par contre les correlations sont fortes et significatives pour la HSF (0.82).On conclue que la HSF de la feuille centrale de la tige est un facteur important dans le déterminisme de la résistance du sorgho vis à vis de la mouche des pousses. Les relations entre les processus physiologiques de la plante et les facteurs impliquées dans l'accumulation d'eau sur la surface des feuilles font actuellement l'objet d'études détaillées.
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13.
Diets prepared from lyophilized and powdered current-year (1983) shoots of white spruce Picea glauca (Moench) Voss were offered to 6th-instar larvae of spruce budworm, Choristoneura fumiferana (Clemens) (Lepidoptera: Tortricidae). With increasing age of current-year shoots, time to pupation increased whereas survival, assimilation efficiency, efficiency of conversion of diet to moth biomass, and moth dry weight generally decreased. Sex of the larvae influenced amount ingested, time to pupation, and subsequent moth weight but not survival, assimilation efficiency, and efficiency of conversion of diet to moth biomass.
Résumé De la poudre lyophilysée de pousses de l'année de Picea glauca a été introduite dans le régime de chenilles du 6ème stade de Choristoneura fumiferana: 20% de poudre de pousses, 1.2% de gélifiant, 78.8% d'eau. Il est ainsi possible de déterminer à 2 mg près la quantité d'aliment consommée par chaque chenille, et, ainsi, de calculer, pour chacune, l'indice alimentaire, dont la prise de nourriture est l'une des variables. Avec de tels régimes préparés à partie de pousses recueillies au cours de 1983, on a constaté que la date de nymphose, la quantité consommée, et le poids ultérieur des papillons dépendaient du sexe de la chenille. En général, les chenilles femelles se nymphosent plus tard, consomment plus et donnent des papillons plus lourds (poids sec) que les chenilles mâles. L'efficacité de l'assimilation et celle de la transformation en biomasse de papillon ne différent pas suivant les sexes, c'est-à-dire qu'ils ont la même aptitude à digérer les pousses. Les taux de survie de chenille à nymphe et de nymphe à imago ne différent donc pas.Cependant, certains de ces paramètres et d'autres changent en fonction de l'âge des pousses annuelles. Quand elles ont été récoltées 7 jours après le débourrement (il a lieu le 20 mai), la survie jusqu'en nymphe est de 93% contre 74% de survie totale; avec des pousses récoltées 52 jours après le débourrement (11 juillet) les taux de survie sont respectivement 7% et 1.4%; avec des pousses récoltées 146 jours après le débourrement (13 octobre) les survies sont 71% et 50%. Des pousses récoltées 28 jours ou plus après le débourrement, retardent la date de nymphose de 25% par rapport à celles récoltées entre 7 et 14 après le débourrement; parallèlement, elles abaissent l'efficacité de l'assimilation de 39%, l'efficacité de conversion de la biomasse de 125%, et le poids des papillons de 54%. Ces changements sont liés à une diminution de la teneur en azote des pousses de 2.1% à environ 1% du poids sec. Cependant la corrélation entre la survie des chenilles et la teneur en azote n'est pas rigoureuse et un facteur encore inconnu est supposé responsable de l'augmentation de la mortalité quand les chenilles consomment (dans leur régime) des pousses récoltées début juillet, 52 jours après le débourrement. Les travaux destinés à identifier ce facteur inconnu sont en cours.
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14.
Sommaire Dans le présent travail, sont examinées les associations des plantes ammophiles qui se rencontrent sur les côtes d'ouest du Péloponnèse (voir la carte du texte).Ces côtes sont les plus favorables à la formation des dunes de sable, car, d'une part elles sont plus ou moins escarpées et par suite plus exposées aux vents sud-ouests qui régnent à cette région, et, d'autre part, on rencontre dans cette région les trois facteurs qui sont nécessaires pour la formation des dunes, le vent, le sable et les plantes, qui constituent, d'après Kühnholtz-Lordat (1923) le trinôme dynamique. Les géophytes à rhizome, Ammophila arenaria, Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens, qui sont considérées comme espèces à grand géodynamisme positif sont très abondantes tout le long du cordon littoral de la plage (Tableaux I–III).La classe Cakiletea maritimae est représentée dans cette région par les associations Salsola Kali — Xanthium strumarium Oberd. et Tx. 1950, et Anthemis Muenteriana —Salsola Kali. La première a été trouvée pour la première fois par Oberdorfer (1952) sur les côtes de la Grèce du Nord et a été classifiée par Oberdorfer et Tüxen (1950), tandis que, la seconde, qui n'a pas été trouvée ailleurs, peut-être considérée comme une nouvelle association des plantes.Les associations de la classe ci-dessus sont rencontrées sur les côtes ou les baies abritées du vent et particulièrement aux endroits où il existe une quantité suffisante d'humus et des débris végétales. L'association des plantes Salsola Kali — Xanthium strumarium est plus nitrophile que la seconde et se rencontre sur les régions les plus basses du rivage, où s'est accumulée une quantité suffisante d'humus et des débris végétaux. Ces derniers proviennent, le plus souvent, des espèces Zostera marina, Posidonia oceanica, Arundo Donax et d'autres. L'association des plantes Anthemis Muenteriana — Salsola Kali est moins nitrophile que la précédente et se rencontre sur les dunes basses d'une hauteur de 0.50–1.50 m qu'elle recouvre; ces dunes sont parallèles au rivage. Cette association apparaît le plus souvent dans sa phase optimale. Aux endroits où la quantité d'humus et des débris végétaux est moindre, apparaît l'association Agropyretum mediterraneum dans sa phase initiale (Tableau I et Photos 9–10).L'association Agropyretum mediterraneum apparaît principalement sur les dunes d'une hauteur de 1 à 2 m, sauf dans très peu de cas (Tableau II). La phase optimale de l'association Agropyretum mediterraneum se rencontre sur les dunes d'une hauteur de 1.50 à 2 m. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus escarpée et par suite plus exposée aux vents sudouests, comme sont, par exemple, les côtes de la région Kaïafa (Photos 15–17). La phase optimale de cette association se caractérise par une abondance des espèces caractéristiques et par l'abondance des représentants des géophytes à rhizome, comme les espèces Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens (Tableau II, nos 1–6).L'association des plantes Ammophiletum arundinaceae se rencontre sur les dunes dont la hauteur dépasse les 2 mètres. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus exposée aux vents sud-ouests, comme sont les côtes de Petrochori et de la région Zacharo. Cette association apparaît dans sa phase optimale, et sur des dunes qui sont bien développées et dont la hauteur, est à partir de 2.5 m et peut atteindre les 15 m (Tableau III et Photos 19–23).L'association bien connue Crucianelletum maritimae qui se rencontre sur les dunes stabilisées des côtes ouests de la Mediterranée, est représentée dans cette région par l'association des plantes Euphorbia terracina — Silene nicaeensis. Cette association représentative se devéloppe sur les dunes stabilisées de la région explorée. Leur hauteur varie, entre 4 et 11 mètres. Elle apparaît comme une association des plantes typiques avec 2 variantes, celle de Rumex bucephalophorus et celle de Centaurea sphaerocephala, et aussi comme les sous-associations Chondrilla juncea — Scolymus hispanicus et Trifolium scabrum —Nigella aristata (Tableau IV et Photos 24–26).En général les associations des plantes ammophiles se rencontrent sur les côtes ouests du Péloponnèse dont le sol est constitué, dans sa plus grande partie, par du sable d'un gros moyen ou moyennement fin.Les associations de la classe Cakiletea maritimae et l'association des plantes Agropyretum mediterraneum se développent sur des endroits où le sol est constitué d'une grande partie, en sable gros (Fig. 4 et 5). Entre eux, les plantes de la classe Cakiletea maritimae se développent sur un sol qui contient, en outre, une assez grande quantité d'humus et des débris végétaux, tandis que, pour l'association Agropyretum mediterraneum, les élements ci-dessus peuvent exister en une très petite quantité ou ne pas s'y trouver.Le sol, sur lequel se développent les associations des plantes Agropyretum mediterraneum et Ammophiletum arundinaceae est différent du sol propre à l'association Euphorbia terracina — Silene nicaeensis, car, dans le premier cas, celui-ci se constitue, en principal d'un sable d'un gros moyen, tandis que, dans le second cas, d'un sable moyennement fin (Fig. 5).Pour tous les sols, propres au développement des associations ammophiles des côtes du Péloponnèse, ou a une abondance de CaCO3. Malgré le fait que l'analogie de CaCO3 varie, a partir d'un pourcentage moyen jusqu'à une grande quantité, l'evolution de la végétation dans ces différentes phases, ne dépend pas de cette quantité.La réaction de ces sols varie, pour la plupart, entre 6.65 et 8.20 (Tableaux 10–14).  相似文献   

15.
Conclusion et résumé Les Abeilles reconnaissent le sexe de la larve transposée dans les ébauches de cellules royales et réagissent en fonction de ce sexe: pour les larves de mâles, l'acceptation est toujours inférieure à celle des ouvrières et, quelquefois, elle peut être nulle pour des petits nombres de larves transposées. En outre, dans la partie orpheline de la ruche, les Abeilles construisent une cellule royale différente suivant le sexe de la larve transposée à l'intérieur.Les larves de mâles transposées dans les ébauches de cellules royales peuvent se nymphoser, mais un grand pourcentage de ces larves meurent peu de temps après l'operculation, mort qui peut être due à ces conditions inhabituelles dans laquelle les larves sont placées, en particulier leur position (verticale au lieu d'être horizontale).  相似文献   

16.
The variation in response to photoperiod and temperature of different populations of the peacock butterfly, Inachis io (L.) (Lepidoptera: Nymphalidae), was investigated to test the extent to which species can adjust their response to the environment, and therefore maximise their reproductive potential. The photoperiodic (adult) diapause induction response varies between populations, and appears to be finely tuned to the local conditions. There is however variation within populations and the response can be adjusted in a population by selective breeding. The developmental rate is not significantly different between three latitudinally distinct populations, over the range of temperatures tested, and pupal weights are similar at given temperatures. However, pupal weights increase with decreasing development temperature. The implications of these findings are discussed with reference to modelling life history strategies.
Résumé Inachis io (L.), observable dans une grande partie de l'Europe, y présente des différences quant au cycle biologique, au voltinisme et à la durée du développement. Trois populations provenant de la zone de transition entre monovoltinisme et bivoltinisme ont été échantillonnées pour examiner les différences de réponses à la photopériode et à la température, et pour évaluer l'étendue des possibilités d'adaptation de cette espèce à l'environnement et ainsi optimaliser son potentiel reproductif. L'induction photopériodique de la diapause est de type jour long pour toutes les souches examinées, mais la photopériode critique 50 (CPh50) varie suivant les populations et paraît étroitement ajustée aux conditions locales. Il y a cependant assez de variabilité à l'intérieur des populations pour que le seuil puisse être rapidement abaissé dans chaque population par des expériences d'élevage sélectif. Par contre, la vitesse de développement ne varie pas significativement entre les populations pour la gamme de température: 15–27°C. Les poids de chrysalides ne diffèrent pas suivant les populations, bien qu'ils augmentent quand la température de dévelppement diminue. On peut penser que des modèles, prédisant que la diminution du nombre de générations pendant une saison sera accompagnée d'une prolongation de la durée de développement et d'une augmentation de la taille, et que ceci est d'origine génétique et non le résultat seul du refroidissement de l'environnement, ne tiendront pas compte de l'absence de variation entre populations dans la relation entre température et développement.
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17.
The hardness (i.e. resistance to penetration) of water-saturated polyporus and of various plant structures, determined by a 0.254 mm diameter needle-penetrometer, ranged from 12–50 and 11–112 g/mm respectively. The isolated mandibular stylets of three species of Homoptera (Typhlocyba rosae, Philaenus spumarius, Macropsis fuscula) possessed tapered but non-curved apices while the maxillaries were incurved to varying extents: this condition was reversed in two Heteroptera (Orthotylus ochrotrichus, Tingis cardui) where the mandibulars were incurved and the maxillaries straight. Insertion of the isolated stylets into wet polyporus produced curved paths closely related to the stylet structure with the average radius of curvature of the path decreasing by half in the hard (50 g/mm) compared with the soft (12 g/mm) polyporus. These results are related to published information on the stylet paths of these and related insects when they are feeding. Directional control of the stylets in plant tissue is considered to be primarily a function of the mandibular stylets in the Heteroptera and of the maxillaries in the Homoptera, for species in which the maxillary stylets are independently-moving.
Résumé La dureté (c'est-à-dire la résistance à la pénétration) de petits morceaux de polypore saturés d'eau est évaluée d'après la force nécessaire pour assurer l'enfoncement d'une aiguille d'un diamètre de 0,254 mm; celle-ci est comprise entre 12 et 50 g/mm. La dureté moyenne ainsi établie est évidemment plus grande que celle obtenue avec une aiguille de 0.142 mm; par ailleurs, si le polypore est remouillé, après avoir été séché, il ne montre aucun changement significatif de sa dureté; celle-ci est inversement proportionnelle à la teneur en eau.La dureté de divers organes des plantes, déterminée avec une aiguille de 0,254 mm, varie de 11,3 g/mm (nervure principale d'une feuille de tabac) à 112,2 g/mm (tige de chèvrefeuille), bien que certains tissus puissent avoir des valeurs moyennes bien au-dessus ou bien audessous de celle de l'organe entier. Comme avec le polypore, il y a une relation inverse entre la dureté et la teneur en eau.L'examen des extrêmités des stylets isolés chez trois espèces d'Homoptères et deux espèces d'Hétéroptères, montre que chez les Homoptères les mandibules sont droites et acérées alors qu'elles sont courbes chez les Hétéroptères; la condition inverse s'observe pour les maxilles. La courbure des stylets qui se voit chez l'insecte vivant quand leur extrémité est prolongée au-dela du faisceau, varie avec les espèces. Pour les maxilles, elle est plus grande chez Typhlocyba rosae que chez Philaenus spumarius et Macropsis fuscula (Homoptères), et pour les mandibules, elle est plus grande chez Tingis cardui que chez Orthylus ochrotrichus (Hétéroptères).Des stylets isolés enfoncés dans du polypore tendre ou dur (12 et 50 g/mm respectivement) suivent des trajets courbes en rapport avec la structure des stylets et avec la dureté du substrat.Des résultats publiés pour d'autres espèces d'Hémiptères au sujet de la pénétration des stylets dans les tissus des plantes sont confrontés aux résultats précédents. On en conclut que les trajets sinueux observés pour les stylets des Hétéroptères (O. ochrotrichus et T. cardui) et de petits Homoptères (Typhlocyba rosae) sont surtout le fait des stylets mandibulaires et maxillaires respectivement présentant une courbure. La courbure moins accentuée des stylets maxillaires de plus grands Homoptères (P. spumarius et M. fuscula) est à rapprocher du trajet plus droit des stylets de ces espèces, avec un changement de direction limité aux tissus vasculaires les plus durs.
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18.
In Drepanosiphum dixoni H. R. L. the heavier the adult the greater the fecundity. However, brachypterous alatae are more fecund than macropterous alatae in the first 10 days of adult life as well as in the first 10 days of reproductive life. There is no difference in the weight at birth between the offspring of brachypterous and macropterous alatae.
Résumé Les ailés brachyptères et les ailés macroptères de Drepanosiphum dixoni sont très semblables dans leurs structures. Les brachyptères sont dépourvus des muscles indirects du vol et leurs ailes, quoique de forme parfaite, sont plus courtes que celles des ailés macroptères.La fécondité est d'autant plus grande que l'insecte adulte est plus lourd. Cependant, les ailés brachyptères sont plus féconds que les ailés macroptères aussi bien pendant les 10 premiers jours de leur vie adulte (Fig. 1A) que pendant les 10 premiers jours de leur reproduction (Fig. 1B). La différence de fécondité est plus marquée quand on se réfère aux 10 premiers jours de la vie adulte, (comparer Fig. 1, A et B), car le délai entre la mue imaginale et le début de la reproduction est plus court chez les brachyptères (2, 4 jours) que chez les macroptères (3, 3 jours).On n'observe pas de différences dans le poids à la naissance de la descendance de chacune des 2 formes.Dans l'évolution de l'aptérisme chez les Aphides il est vraisemblable que l'avantage initial réside dans un accroissement de fécondité, comme chez D. dixoni. Un développement secondaire possible dans l'évolution du dimorphisme alaire chez les Aphides est celui observé chez A. fabae où les ailés produisent une plus petite descendance, la proportion de celle-ci qui naît dans les quelques premiers jours de la vie adulte étant plus élevée que chez les formes aptères.
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19.
Phenological and genetic observations were made during two outbreak seasons on a population of the fall cankerworm, Alsophila pometaria Harris (Lepidoptera, Geometridae), at Beltsville, Maryland, U.S.A. As in intensively-studied populations 300 km to the northeast on Long Island, new York, this population consisted mostly of asexual females requiring conspecific mating to reproduce. The estimated fraction of outcrossing (15–20%), however, was several times that typical for Long Island. Numerous intersexes were found, concentrated in a few families, suggesting that pseudogamy is controlled by more than one heritable factor. The genetic diversity and ecological heterogeneity among asexual females in the Maryland population appear similar to that on Long Island, but there is little overlap in common axexual genotypes. Electromorph frequencies at three loci in males, by contrast, show little geographic variation. The adult activity period is later and longer in Maryland than in colder parts of the range.
Comparaison de population géographiques d'Alsophila pometria
Résumé Au cours d'une pullulation d'Alsophila pometaria, à Beltsville, Maryland, U.S.A, nous avons contrôlé les émergences des papillons pendant deux saisons, échantillonné les sexes et les génotypes par électrophorèse pour quatre loci, puis nous avons examiné l'héritabilité de ces marqueurs électrophorétiques dans la descendance élevée au laboratoire. Comme pour les populations étudiées avec précision à 300 km au N.E à Long Island, New York, cette population comprenait essentiellement des femelles asexuées exigeant des accouplements conspécifiques pour se reproduire. Environ 15% de la descendance examinée présentait une ségrégation, contre 5% ou moins à Long Island. De nombreux intersexués élevés à partir des populations de Maryland et de New York, se trouvaient uniquement dans quelques lignées, ceci suggère que le rejet des spermatozoïdes et la diploïde des oeufs qui caractérise la pseudogamie, ont des déterminismes génétiques séparés. La diversité des femelles asexuées de la population de Beltsville, dominée par quatre génotypes asexués, paraît semblable à celle de Long Island, mais les clones similaires se chevauchent très peu. Par contre, les fréquences allèliques de tois loci sont presque identiques chez les mâles de deux localités. Les fréquences génétiques des chenilles diffèrent pour des échantillons prélevés à quelques kilomètres de distance sur des hôtes différents dans la même population; il en est de même pour des femelles prélevées à différentes époques. Tout ceci suggère une hétérogénéité écologique parmi les clones, comme cela a été suggéré pour Long Island. La période d'activité des adultes est plus tardive, plus marquée et plus longue au Maryland que dans les parties les plus froides de l'aire; elle s'étend de décembre à mars, avec les captures les plus fortes en janvier et février.
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20.
Bänziger  Ruth 《Hydrobiologia》1995,(1):133-140
The macrozoobenthos of eight types of land-water interfaces of Lake Geneva was sampled three times between October 1988 and July 1989. Three artificial interfaces (concrete walls, cracked walls, embankments) and five natural interfaces (stony shores, stony shores below a riparian forest, reed-belts, clayey banks and sandy shores) were chosen, according to their qualitative or quantitative importance in Swiss lakes.Macroinvertebrate density, diversity, richness and occurence frequency were calculated for each interface. Correspondence analysis was used to show the differences between the interfaces and between the stations.In the artificial interfaces taxonomic richness, diversity and density were low. They were characterized by the most frequent taxa in the interfaces studied and by taxa associated with hard substrate interfaces. The natural interfaces, besides the sandy shore, showed high taxonomic richness, diversity and density values and were characterized by less frequent taxa in the studied interfaces or taxa specific for one type of interface.
Résumé Entre october 1988 et juillet 1989, trois campagnes de prélèvements de macroinvertébrés ont été effectuées dans huit types d'interfaces eau-terre du lac Léman (Suisse). Trois interfaces artificielles (mur de béton, mur avec anfractuosités, enrochements) et cinq interfaces naturelles (grève caillouteuse, grève caillouteuse sous ripisylve, roselière, talus terreux et grève sablonneuse) ont été choisies en fonction de leur importance qualitative et quantitative dans les lacs suisses.Les différentes interfaces ont été caractérisées àl aide de ladensité, de la richesse faunistique et de la fréquence des taxons. Les différences entre interfaces et entre stations ont été mises en évidence par analyses de correspondance.La richesse faunistique, la diversité et la densité des interfaces artificielles sont faibles. Elles sont caractérisées par des taxons fréquent dans l'ensemble des interfaces prospectées et par quelques taxons fréquents dans les interfaces à substrat dur. Les peuplements des interfaces naturelles, àl'exception des grèves sablonneuses, ont des valeurs de richesse faunistique, de diversité et de densité plus élevées et peuvent être caractérisés par la présence de taxons peu communs dans les interfaces ou de taxons spécifiques à un type d interface.
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